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Un livre-phare applaudi par des personnalités de renom international

 

 

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Alfons M. Card. Stickler S.D.B.

Fête de Saint Joseph 1993

 

 

Monsieur le Professeur,

Je vous remercie vivement de la gentillesse dont vous avez fait preuve en m’envoyant la traduction italienne de votre outrage «Noblesse et élites traditionnelles dans les allocutions de Pie XII ». Je viens de la recevoir.

Elle m’a impressionné à plusieurs titres. D’abord pour son opportunités, car elle présente à nouveau les enseignements du grand pape Pie XII sur la noblesse, au moment où la férocité antinobiliaire, provoquée dans le monde entier par la Révolution française, semble diminuer de tous côtés.

Ensuite parce qu’elle suscitera, en tous lieux et en de nombreux coeurs — aux prises avec la décadence universelle des valeurs chrétiennes et naturelles — le désir de voir les élites nobles redonner à l’humanité les exemples dont celle-ci a un besoin urgent et suprême. Les élites ont exercé dans les siècles précédents le rôle important, souvent déterminant, de rehausser ces valeurs par leur vie et leur activité.

Le troisième titre concerne les considérations — qui me semblent d’une extrême actualité — sur la formation, à côté de la noblesse et de l’élite de sang, de noblesses et d’élites d’esprit. L’association de ces dernières et le concours d’autres âmes nobles les amèneraient à assumer dans le monde entier un rôle d’exemple et de guide pour la formation d’un ordre naturel durable. Cet ensemble ordonné soutiendrait les noblesses de sang déjà existantes et remplacerait celles qui n’auraient pas su réagir avec efficacité contre la décadence actuelle.

Grâce à une vaste et sûre documentation, vous faites une analyse subtile de la réalité sociale et politique, si complexe de nos jours. Vous commentez avec une rigueur logique remarquable les enseignements lumineux du Pape Pie XII et faites voir que lui et ses successeurs, jusqu’à Jean-Paul II, ont toujours attendu de la noblesse qui reste encore et des élites analogues qui émergent, le redressement religieux, moral et culturel du monde.

Voici pourquoi, illustre Professeur, ce livre me réjouit ; je lui souhaite une large diffusion pour qu’il soulève, soutienne et façonne un intérêt profond et vaste à l’égard de cet excellent instrument de restauration d’une éthique naturelle saine et d’une morale religieuse renouvelée. Que celles-ci puissent mener l’humanité toute entière vers la paix, la prospérité, et le bonheur que seules les valeurs authentiques et bien fondées réalisent et préservent.

A ces voeux, j’ajoute les prières adressées au Seigneur et à la Mère de l’Eglise pour le bien de votre oeuvre, aussi bénéfique qu’actuelle, accomplie dans ces temps angoissants.

Vôtre dans le Christ

Alfons M. Card. Stickler, S.D.B.

(Traduction de l’original italien)

 

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Du Cardinal Mario L. Ciappi,

Théologien émérite de la Maison pontificale

Rome, le 18 février 1993

 

Professeur,

Votre renommée, les éloges et le soutien apportés à votre oeuvre par l’insigne Père Victorino Rodrigues O.P., considéré habituellement comme une des gloires de la théologie contemporaine, m’ont porté à lire avec un vif intérêt le livre « Noblesse et élites traditionnelles dans les allocutions de Pie XII ».

Lorsque Pie XII offrit au monde la série splendide de ses quatorze allocutions au Patriciat et à la Noblesse romaine, nombreux furent ceux qui les prirent plus pour une effusion de son amour envers une vertu, des grandeurs et des gloires de moins en moins comprises par le monde que pour une oeuvre à la fois théologique, philosophique et historique sur des valeurs possédant un rôle fondamental et permanent.

L’allocution la plus récente date de 1958. Plus de trente ans se sont écoulés depuis et, il est possible à présent de constater que ces personnes s’étaient trompées. En effet le Pape Pacelli avait bien jugé le cours des événements. Aujourd’hui, non seulement le vieil acharnement antinobiliaire s’estompe, mais des intellectuels de qualité signalent un peu partout combien la perte des élites authentiques et l’abaissement du type humain qui en résulte se produisent au détriment de la culture et du style de vie de la société contemporaine.

Voilà la raison de l’ardente aspiration manifestée en divers endroits, à restaurer l’influence des élites authentiques sur les multitudes de façon à faire de celles-ci — selon l’enseignement de Pie XII — un peuple et non une masse anonyme (cf. Message de Noël, 1944).

Votre oeuvre se trouve être, dans ce contexte historique, d’une opportunité extraordinaire : tout en faisant écho au magistère du Pape Pacelli, en le commentant avec une pénétration et une cohérence remarquables elle appelle la noblesse et les élites analogues collaborer, plus ardemment que jamais, au bien commun spirituel et temporel des nations.

Il leur revient en effet — et ce pape d’immortelle mémoire le souligne — la précieuse mission de transmettre par l’exemple, la parole et l’action, le trésor des vérités religieuses et temporelles de la Chrétienté, le flambeau lumineux de tant de vérités que les sociétés ne pourront jamais oublier sans risquer de succomber dans le tourbillon du chaos et de la misère morale qui les menacent.

Je souhaite donc que ce livre soit bien reçu. Outre votre amour pour l’Eglise, vous lui avez consacré les amples ressources de votre;intelligence et de votre érudition. Plaise à la Divine Providence de lui accorder une vaste diffusion afin que l’option préférentielle pour les nobles, inspirée par Pie XII, que vous mettez en lumière, et l’option préférentielle pour les pauvres, à laquelle l’actuel Pontife voue un amour passionné, puissent être de plus en plus entendues.

Mario Luigi Card. Ciappi O.P.

(Traduction de l’original italien)

 

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Bernardino Cardinal Echeverría Ruiz

 

Un livre qui nous invite à réfléchir sérieusement

 

[…] Pie XII nous a laissé toute une collection de documents adressés spécialement à la noblesse romaine, où il exalte en termes très élogieux les vertus traditionnelles des familles nobles et exhorte le Patriciat à l’épanouissement authentique des qualités et vertus qui doivent orner toute personne ou toute famille se prétendant noble. Il encourage les élites non seulement à conserver les valeurs antiques de la noblesse, mais à les purifier grâce aux enseignements du Christ. Nous pensons donc que le livre de Plinio Corrêa de Oliveira est un cri prophétique appelant la société contemporaine, notamment la noblesse par laquelle se sont distingués tant d’hommes du passé, à faire un examen de conscience sur la pratique des vertus authentiques qui contribuent à la formation d’une société plus humaine et plus chrétienne. La vraie noblesse ne doit pas se fonder sur la vanité et l’égoïsme, mais sur les bases solides de la vérité et du bien. C’est pourquoi nous sommes persuadés que ce livre conduira à une sérieuse réflexion qui ramènera les valeurs éternelles de l’être humain, raisons d’être de sa grandeur et de sa ressemblance avec Dieu.

Ibarra, le 21 janvier 1995

Bernardino Card Echeverría, O.F.M.

(Traduction de l’original espagnol)

 

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Silvio Cardinal Oddi

 

Lettre du Cardinal Silvio Oddi au Pr. Plinio Corrêa de Oliveira :

Rome, le 10 février 1993

 

Professeur,

C’est avec un vif intérêt que j’ai lu votre ouvrage « Noblesse et élites traditionnelles dans les allocutions de Pie XII ».

La pensée du grand Pape Pie XII, qui perce dans les documents cités, reste parfaitement actuelle et vous avez eu l’heureuse initiative de la proposer au public contemporain accompagnée de commentaires opportuns. Il convient de rappeler — Paul VI l’a répété après le Concile Vatican II — que les enseignements de ses prédécesseurs adressés au Patriciat et à la Noblesse romaine conservent toute leur validité.

Les commentaires et la documentation permettent de comprendre toute la portée de l’enseignement de Pie XII. Ils témoignent aussi de votre grande érudition et de la justesse de votre pensée, relevées à juste titre par le remarquable historien français Georges Bordonove dans la préface.

Je suis sûr de faire une oeuvre utile en recommandant cette lecture à tous ceux qui veulent approfondir leur connaissance des enseignements sages et lumineux du Souverain Pontife.

Je souhaite vivement que ce livre opportun obtienne une large diffusion.

Card. Oddi

 

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Fr. Raimondo Spiazzi, O.P.

 

Lettre du Père R. Spiazzi au Pr. Plinio Corrêa de Oliveira :

 

Professeur,

J’ai lu attentivement l’Ouvrage « Noblesse et élites traditionnelles dans les allocutions de Pie XII » que vous m’avez gentiment envoyé.

J’estime heureuse votre idée de donner une large diffusion à ces documents de Pie XII qui, au premier regard, sembleraient avoir perdu leur actualité. Les commentaires perspicaces et basés sur une vaste documentation montrent, au contraire, la clairvoyance du Souverain Pontife sur ce thème. Vous rappelez aussi très opportunément les beaux mots de Paul VI : « Nous avons tant de choses à vous dire. Votre présence suscite tant de réflexions. Il en était de même pour Nos vénérés prédécesseurs, spécialement le Pape Pie XII, d’heureuse mémoire […]. Nous voulons croire que l’écho, semblable au vent qui gonfle une voile (…) vibre encore dans vos coeurs pour les remplir de ses appels austères et magnanimes qui alimentent la vocation assignée par la Providence à votre vie et sustentent la fonction que la société contemporaine exige encore de vous. »

Votre longue expérience en tant que professeur, député et homme public rend vos commentaires intelligents et didactiques et permet ainsi une lecture facile et agréable de documents pontificaux d’une valeur si éminente et si appréciable.

Je n’ai d’ailleurs trouvé au long de ces pages aucune erreur théologique ou autre concernant les enseignements de l’Eglise. Il me reste à souhaiter que votre excellente oeuvre reçoive du public auquel elle est destinée un accueil complet.

15-III-1993

P. Raimundo Spiazzi O.P.

(Traduction de l’original italien)

 

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Fr. Victorino Rodriguez, O.P.

 

Lettre du R.P. Victorino Rodriguez au Pr Plinio Corrêa de Oliveira

Santo Domingo el Real

PP. Dominicos

25 janvier 1993

 

Cher ami et admiré Professeur

 

J’ai lu très attentivement votre oeuvre magnifique dont vous avez bien voulu m’envoyer le texte original pour révision. […]

Je dois vous dire que je n’y ai rien trouvé qui soit passible de censure ou d’amélioration. Je souhaite, par contre, souligner ce que je considère comme spécialement bien venu.

D’abord, le fait de choisir ce thème particulier. L’œuvre était nécessaire; le choix de son point de départ et de son assise principale est le meilleur qui puisse être : les allocutions de Pie XII au Patriciat et à la Noblesse romaine au début de chaque année. Ce Pape exceptionnel qui portait la noblesse dans sa mentalité, son coeur et son sang, et qui était singulièrement attentif aux problèmes et aux espérances de son temps, ne pouvait ignorer ceux de la Noblesse à laquelle il adressa ces allocutions. Un noble Brésilien, dont la personnalité est profondément marquée par la dévotion au Siège Apostolique et par l’amour à la civilisation chrétienne, les remet au grand jour maintenant.

Ensuite, l’opportunité de l’oeuvre elle-même, au moment où les valeurs authentiques de la noblesse se trouvent éclipsées par « l’égalitarisme » post-révolutionnaire et par les démocraties égalitaires modernes. Les chiffres (les voix électorales ou les dollars) sont plus notoires (nobile = noscibile, illustre, excellent, fameux) que honorables (science, vertu, art). Et pourtant selon ce que j’ai entendu à plusieurs reprises du grand théologien Santiago Ramirez, « la venté n’est pas démocratique, mais aristocratique ». […]

En troisième lieu, la complémentarité harmonieuse établie entre « l’option préférentielle pour les pauvres – si accentuée dans la nouvelle évangélisation – et « l’option préférentielle pour les nobles » me semble très juste et chrétienne. Il s’agit effectivement de deux perspectives qui ne s’excluent pas mais se complètent. La clef de cette question est, je crois, la suivante : on doit aimer les meilleurs et aider les plus dépourvus. C’est ici que les deux options préférentielles s’accordent. L’option charitable pour les indigents ne doit pas nuire à la singulière estime méritée par la noblesse surtout si, aux époques d’égalitarisme massif, cette estime passe par des crises. […]

Quatrième point : il est aussi intéressant de considérer, à une époque de « pacifisme » (la paix à tout prix), le thème de la guerre juste dans laquelle la noblesse militaire, ou ecclésiastique s’est maintes fois engagée. Le Magistère et la Théologie eurent et ont encore beaucoup à dire à ce propos, tel qu’il est rappelé dans le Document XI.

Cinquième point, pour finir : beaucoup croient, sans discernement et sans traduire en actes leur conviction, que la démocratie constitue aujourd’hui le seul dogme politique. Il est donc opportun de leur rappeler la doctrine sociale de l’Eglise à propos des formes de gouvernement. Le Magistère pontifical adopte la doctrine de Saint Thomas souvent reprise par les penseurs catholiques et maintenant par le professeur Plinio Corrêa de Oliveira à l’appendice III de son ouvrage.

Après avoir lu avec plaisir l’original, je crois avoir correspondu par ces remarques à votre geste amical.

P. Victorino Rodriguez, O.P.

 

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width=227Père Anastácio Gutiérrez C.M.F.

 

 

Lettre du R. P. A. Gutiérrez au Directeur du Bureeau-TFP à Rome

 

Institutum Iuridicum Claretianum

 

Le 20 juillet 1993

 

Mon cher D. Juan Miguel,

J’ai bien reçu le bel ouvrage du Prof. Plinio Corrêa de Oliveira, votre insigne fondateur : « Noblesse et élites traditionnelles…» Il s’agit d’un livre d’une grande valeur. Un ouvrage d’une maturité scientifique, humaine, chrétienne… inappréciable. Je crois que, fort de mes 81 ans, de mes 55 ans d’études socio-juridiques, de mes 50 ans de vie passés du haut de cet observatoire qu’est Rome, j’ai quelque droit à l’apprécier, et surtout à l’estimer.

Je le répète, il s’agit là d’une oeuvre d’une maturité et d’el équilibre de jugement difficilement égalables par tellement de livres, excellents si l’on veut, mais qui manquent de ce que l’on pourrait appeler le charisme de science et d’expérience propre à un grand penseur; et pour moi, ce ne sont pas tant les documents de base que les réflexions du Prof. Plinio Corrêa de Oliveira qui traite de l’histoire, de la théologie et de l’éthique chrétienne avec une observation et une capacité de synthèse profondes. Enfin, le professeur Corrêa de Oliveira est un grand maître (en majuscules dans l’original) qui mérite bien de figurer à la tête de ces élites.

La présentation du volume est digne de son contenu, noble comme l’est le thème traité. Une allusion opportune à Isabelle la Catholique aurait encore anobli l’ouvrage, elle qui fut la plus grande femme de souche royale que le monde ait connu après la Mère de Dieu, selon l’opinion des grands critiques historiques. Comme vous le savez certainement, le Prof. Corrêa de Oliveira figure parmi les premières personnalités du comité promoteur de sa glorification.

Mes félicitations, et qu’il trouve toute la diffusion qu’il mérite! Mes meilleurs augures,

De votre très affectueux ami,

Père Anastácio Gutiérrez C.M.F.

 

 

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Georges Bordonove

Le professeur Corrêa de Oliveira se classe parmi les esprits clairvoyants qui perçoivent, avec une acuité presque douloureuse, la métamorphose qui s’opère dans la société actuelle et dont on ne sait quel visage elle adoptera. Il craint, non sans justes motifs, que l’effet combiné d’un progrès galopant et d’un égalitarisme pris à contre sens n’occulte finalement l’individu dans un monstrueux nivellement. Et c’est sous cet angle qu’avec Pie XII il situe la mission du patriciat pris dans son sens le plus large, à moins que celui-ci ne préfère se saborder lui-même et disparaître. En d’autres termes, il invite les élites à ne pas s’attarder dans les regrets de grandeurs évanouies, à ne pas s’exclure de la société, mais à entrer résolument dans la vie active, à mettre leurs talents, leur héritage d’expérience, leurs traditions familiales et jusqu’à leur façon d’être au service de la société et dans la seule préoccupation du bien commun.

« La tradition, écrit-il citant Pie XII, est chose très différente du simple attachement à un passé disparu : elle est tout l’opposé d’une réaction qui se méfie de tout sage progrès. Son nom lui-même, étymologiquement, est synonyme de cheminement et de marche en avant—synonymie, non identité. En effet, tandis que le mot progrès indique seulement le fait d’aller en avant, un pas devant autre, en cherchant du regard un avenir incertain, la tradition signifie aussi une marche en avant mais une marche continue qui se déroule en même temps avec tranquillité et vigueur, selon les lois de la vie […] Non, il ne s’agit pas de ramer à contre-courant, de retourner vers les formes de vie et d’action des âges disparus, mais bien, en prenant et en suivant ce que le passé a de meilleur, d’avancer à la rencontre de l’avenir avec la vigueur immuable de la jeunesse. »

Le professeur Corrêa de Oliveira assigne donc, très précisément, aux élites la mission de garder et de promouvoir celles des valeurs traditionnelles susceptibles d’harmoniser le monde de demain, en particulier les valeurs religieuses sans lesquelles la créature humaine n’est plus qu’un robot et le peuple devient « la masse ».

On pourrait peut-être dire qu’il songe parfois à quelque Etat idéal, à quelque Jérusalem terrestre, à l’imitation du grand saint Louis. Il n’en reste pas moins que cet ouvrage est en tous points remarquable, notamment par l’abondance et l’exactitude rigoureuse de la documentation, par la culture universelle de l’auteur, par la solidité de l’argumentation et par la transparence de la pensée. Mais on appréciera aussi l’effort de prospective, lorsque le professeur Corrêa de Oliveira aborde l’avenir du monde actuel. Tout ce qui touche de près ou de loin aux élites tirera profit de cet essai. Il propose un itinéraire ; il pose les premiers jalons du chemin à suivre. Est-ce ici l’annonce de ce XXIe siècle qui, a-t-on dit, sera mystique ou ne sera pas

[extraits du préface de la edition française du livre]

 

 

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Paul M. Weyrich

 

 

Votre livre peut contribuer à raviver chez les gens la conscience que nous avons besoin d’une élite dévouée au service et pouvons en fait l’avoir.

Paul M. Weyrich

Président, Free Congress Foundation

 

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width=150C. Morton Blackwell

 

En utilisant des arguments théologiques, morales et prudentiels, ce livre convaincra beaucoup de lecteurs, quel que soit leur foi, que les élites sont légitimes, bonnes, souhaitables et, oui, nécessaires.

C. Morton Blackwell

Président, Leadership Institute

 

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